ALERTE !
La
Cour de cassation n’exerce plus son contrôle sur la légalité des décisions qui
lui sont soumises
Au lieu de contrôler la légalité des décisions qui lui sont
soumises, la Cour de cassation, la plus haute juridiction de l’ordre
judiciaire, s’apprête à violer elle-même la loi en validant des arrêts
illégaux : pour pouvoir rejeter deux pourvois sans les examiner,
elle justifie la non-admission du premier par des arguments qui sont, en
eux-mêmes, des violations de la loi, et ne m’envoie aucun avis de non-admission,
pour l’autre. Les deux procédures (et d’autres avant elles, qui subirent le
même sort) sont en lien avec les chirurgies fautives qui m’ont rendue
multi-handicapée et les chirurgiens qui les ont réalisées, et que les
juridictions parisiennes judiciaires et disciplinaire disculpèrent sur
instructions de leur « ami », Nicolas SARKOZY.
C’est état de choses est inacceptable, non seulement pour moi, mais
pour la nation entière.
La France n’est pas une
république bananière du 19ème siècle.
Nous n’avons pas à nous résigner à ce que la Justice se comporte
comme si c’était le cas alors qu'on ne cesse de nous répéter que la France est un État de droit, le
pays de la liberté d’expression, de l’égalité de tous devant la loi ; et qu’on
vote même des lois « pour la confiance dans l’institution judiciaire » !
La moindre des choses, c’est que ceux qui tiennent ces discours s’y
conforment dans leurs actes, en appliquant la loi. Ne pas le faire, c’est
exprimer un mépris insupportable vis-à-vis de la nation, à qui l’on ment, les
yeux dans les yeux.
Je vous demande donc, à vous tous, citoyens, justiciables et
victimes de France, mais aussi à vous, élus la République, médias, associations
anticorruption et de défense des libertés fondamentales, avocats pour qui la
recherche de la vérité et la justice ne sont pas de vains mots, de ne pas
laisser la Cour de cassation violer la loi en refusant d’examiner
mes pourvois. Sa fonction est de contrôler la légalité des décisions
qui lui sont soumises, non d’en valider l’illégalité en violant
elle-même la loi.
Je vous demande, à tous, de considérer la gravité de la situation et
de réagir. Au-delà de mon cas personnel, il y va de l’État de droit, de la justice,
du droit des victimes de porter plainte pour dénoncer les infractions à la loi
qui leur ont porté préjudice, de la liberté de parole, de mouvement, d’action
et d’expression. C’est à tout cela que la Cour de cassation porte atteinte en
voulant confirmer les décisions illégales faisant l’objet des pourvois.
Depuis plus de cinq ans et demi, je fais l’objet d’un harcèlement
d’une violence inouïe de la part du Ministère public et des juridictions
parisiennes.
Leur objectif est de me détruire. C’est un miracle qu’ils n’y soient
pas encore arrivé.
Mais je ne suis plus en mesure de mener ce combat, seule. J’ai
aussi la peur au ventre depuis que j’ai constaté qu’ils sont prêts à
tout ; qu’il n’y a plus aucune limite, à rien.
Je vous alerte donc tous sur les répercussions dramatiques
que ce harcèlement continu, depuis si longtemps, et l’état de stress permanent qu’il
génère, ont sur ma santé, et sollicite votre aide.
Raisons de l’acharnement de la Justice
Pendant très longtemps, j’ai pensé naïvement que j’avais perdu les procès à
cause d’un malheureux concours de circonstances alliant le manque de
diligence de mes avocats successifs, l’incompétence des experts et une trop
grande foi des juges dans les conclusions d’expertise.
Puis, ne guérissant pas, je me suis interrogée sur cette Justice qui, au lieu de protéger la victime qui se tourne vers elle, s'attache à la détruire plus encore.
En 2017, j’ai commencé à publier, sur mes blogs, les conclusions
auxquelles ma réflexion m’avait amenée : les chirurgiens qui m’ont
volé mes yeux, ma santé, ma vie et tous mes possibles, en me faisant subir des
opérations interdites, dont la seconde, de force, furent disculpés de toute
faute sur instructions de M. SARKOZY,
ministre de l’Intérieur au début du procès en responsabilité médicale et
président de la République au moment où les décisions ont été rendues.
La Justice ne leur a pas même demandé de réparer les
dommages atterrants qu’ils avaient causés
et qui m’empêchaient littéralement de vivre ; et qui, faute de soins, se
sont aggravés et en ont causé d’autres, tout aussi graves, irréversibles et
invalidants. Or, en ne retenant aucune faute, la Justice non seulement leur
assurait l’impunité à vie mais elle m’ôtait dans le même temps toute possibilité
de recours ultérieur, même en cas d’aggravation, ou pire encore.
Pour que ces révélations ne soient pas accessibles au public, mais
aussi pour que je ne puisse pas dénoncer
les faits qui allaient se dérouler par la suite et qu’ils aient les mains
libres pour violer la loi autant que nécessaire afin d’empêcher toute remise en
cause des décisions de complaisance, le Ministère public, agissant à
couvert, via l’avocat du Dr BAUJAT, fit supprimer mes blogs et, toujours
via le même avocat, me fit citer à comparaître pour le plus grotesque des chefs de délit, celui de « harcèlement du Dr BAUJAT » !
L’affaire fut portée devant le Tribunal de Nanterre, incompétent
territorialement puisque je ne suis pas domiciliée dans les Hauts-de-Seine,
mais dont les magistrats, du siège comme du parquet, présentaient l’immense avantage
d’être plus faciles à persuader, ou à contraindre, de me condamner sur des
accusations inventées de toutes pièces, que ne l’eussent été des confrères d’un
tribunal de province, moins sous influence. Il y avait aussi, bien sûr, la
volonté de ne pas ébruiter l’affaire en l’exportant ; de laver son linge
sale en famille. D’où le refus systématique de délocaliser les dossiers, tant
devant les juridictions judiciaires que devant l’Ordre des médecins.
Dans le même temps, la Chambre disciplinaire d’Île-de-France, puis
la Chambre nationale, de l’Ordre des médecins, recouraient à toutes les
violations de la loi et de la procédure pour ne pas sanctionner l’anesthésiste Catherine ROCCHICCIOLI, en dépit
de sa culpabilité démontrée. Le 09 mai 2000, avec l’aide du Dr BAUJAT et d’une
infirmière, elle m’avait agressée et anesthésiée de force, de façon à ce que le
Dr BAUJAT puisse m’opérer en dépit de mon refus catégorique et puisse
s’entraîner ainsi sur moi à l’opération, délicate et dangereuse s’il en est, de
décompression orbitaire osseuse, à laquelle il s’essayait pour la première
fois !
Dans le même temps encore, mon administration de tutelle (Rectorat
de Nantes, avec les services concernés de l’Inspection académique et de la
Préfecture de la Vendée) reçut instructions de violer mes droits et
demanda, à deux reprises, à des ophtalmologues agréés de rédiger de fausses
expertises dans lesquelles ils imputaient
les dommages que j’avais subis à autre chose qu’aux chirurgies qui les avaient
causés, supprimant du même coup la responsabilité et la culpabilité des
chirurgiens. (Il y eut une autre tentative mais elle échoua.)
Comme ce tour de magie ne peut en rien supprimer le fait que la 2nde opération fut pratiquée
de force et correspond à un crime, au sens pénal du terme, ils l’ont
effacée de l’historique des faits, ne parlant plus que de la 1ère
DOO du 09 janvier 1999, alors même que les dommages dont je souffre furent
causés par la seconde, du 9 mai 2000, qui avait effacé ceux causés par la première.
Plusieurs médecins et soignants furent également approchés et
acceptèrent de rédiger de faux comptes-rendus ou lettres de suivi ayant la même
finalité.
La dernière corruption en date est celle de mon avocat devant la
Cour de cassation. Entre avril et début juillet 2022, et malgré mes relances, il
a refusé que nous parlions des dossiers, remettant toujours à plus tard, ne m’a
pas communiqué les numéros des pourvois et ne m’a soumis aucun projet de
mémoire. J’en ai conclu qu’il avait décidé de ne pas me défendre du tout. En
fait, il a fait pire que ça : il a déposé, à mon insu, des mémoires ampliatifs
qui, au lieu de me défendre, m’accablaient, et soutenaient les intérêts de la
partie adverse, soit, le Ministère public, dans l’un, et le Ministère public
allié de Bertrand BAUJAT, dans l’autre.
J’ai dessaisi l’avocat, invalidé ses mémoires ampliatifs et saisi d’une
réclamation le Président de l’Ordre des avocats à la Cour de cassation et au
Conseil d’État. Je suis très inquiète, cependant : un mois et demi après
avoir envoyé ma réclamation, il ne m’en a toujours pas accusé réception alors
que l’article 186-2 du Décret n° 91-1197 du 27 novembre 1991 organisant
la profession d'avocat lui en fait obligation.
Outre les effets dévastateurs que cet état de choses a sur le
moral, les courriers et mémoires multiples, incessants, que je suis obligée de
rédiger depuis 5 ans et demi, ont considérablement aggravé l’état de mes
cervicales, abîmées au-delà du réparable par plus de 22 ans de diplopie et de
torticolis oculaire, et fait naître un grave problème à l’épaule droite. En
effet, comme je ne pouvais plus lire, comme tout le monde, en regardant vers le
bas, en ayant le livre dans les mains ou posé sur le bureau, j’ai pris
l’habitude, depuis les opérations, à plus forte raison, la seconde, de
scanner ou de télécharger, systématiquement, la moindre ligne à lire, le
moindre texte sur lequel je dois travailler, si long fût-il, puis de le
reformater, repaginer…, de façon à pouvoir lire en regardant en face (la seule
position du regard corrigée par les prismes), sur mon (grand) écran
d’ordinateur et, ainsi, voir moins double et diminuer la torsion et l’incidence
sur les cervicales. (Mon bras m’aide à lire comme sa canne aide l’aveugle à
trouver son chemin.) Malheureusement, les milliards et les milliards de clics
et de doubles clics de souris que ce travail titanesque a nécessité toutes ces
d’années ont eu raison de mon bras droit, tout comme le torticolis compensateur
a eu raison de mes cervicales. Les crises inflammatoires, lors desquelles je
suis en incapacité de rédiger, sont de plus en plus rapprochées et durent de
plus en plus longtemps. À terme, je ne pourrai plus du tout utiliser l’ordinateur,
et ne pourrai donc plus lire en regardant en face, non plus.
La Justice et mon administration de tutelle sont directement
responsables de l’aggravation de mon état de santé, d’une part, en raison des
tâches qu’elles m’obligent à accomplir et qui abîment toujours un peu plus mes
cervicales et mon épaule droite et, d’autre part, en raison des soins et aides
qui ne me sont pas prodigués.
Une injonction qui vient de très haut !
Ce qui fait le plus peur, c’est que tous les intervenants dans
l’affaire obéissent à une injonction venue de très haut, tout comme lors des
premiers procès.
Il n’y a en effet aucune probabilité à ce qu’un
simple avocat obtienne des sociétés E-Monsite, Eklablog, Blog4ever et Wifeo, qui
hébergeaient mes blogs depuis 9 ans, qu’elles les suppriment du jour au
lendemain, sur simple demande de sa part, sans saisine de la justice et sans
m’en informer. C’est d’autant moins probable que les deux premières avaient déjà
eu à gérer des campagnes de dénonciation calomnieuse massives de la part des
chirurgiens et des experts judiciaires, en 2009 et/ou 2010, et avaient tenu bon,
refusant de supprimer mes blogs (même si elles les ont suspendus pendant
quelques jours, quelques semaines ou quelques mois, selon le cas) ; que la
première m’avait assuré, à plusieurs reprises, la dernière fois, seulement six
mois avant la suppression de mes blogs en juillet 2018, qu’elle ne supprimerait
pas mes blogs et ne les suspendrait, le temps que la justice tranche le litige,
que sur présentation d’un récépissé de dépôt de plainte ; et
que la seconde n’avait pas hésité à aller en justice parce qu’elle refusait de
supprimer un blog sur « simple injonction d’un avocat », celui
d’un élu, en l’espèce.
Il n’y a, de même, aucune
probabilité à ce que les chirurgiens
aient pu, eux-mêmes, obtenir du Rectorat de Nantes, de l’Inspection académique
ou de la Préfecture de la Vendée qu’ils s’en prennent à une enseignante en
situation de handicap et lui dénient tous ses droits ;
- Ni aucune probabilité
qu’ils réussissent à obtenir, sur 20
ans, de tous les experts judiciaires ou administratifs, qu’ils rédigent des
expertises frauduleuses les disculpant des fautes, délits et crime qu’ils
avaient commis et niant les préjudices de la victime ;
- Ni qu’ils puissent
avoir connaissance du nom des médecins et soignants que je consulte ;
- Ni que des experts,
des avocats, des médecins, des orthoptistes, etc., risquent leur carrière pour
eux ;
- Ni que la Cour de
cassation trahisse sa fonction et sa vocation en validant des décisions
illégales ;
- Ni que la 8ème
chambre des appels correctionnels de la Cour d’appel de Versailles accepte que
sa décision, découlant de l’audience du 26 février 2022, soit purement et
simplement annulée, et qu’on lui fasse signer un arrêt honteux, qui en prenait
le contre-pied – comme si l’audience du 26 février n’avait jamais eu lieu et
qu’on avait confisqué aux magistrats, greffière et huissière qui la composent leur
statut de formation de jugement pour cette audience-là !
- Ni qu’un juge de
Nanterre organise une audience à huis-clos (notée frauduleusement « audience
publique » sur le Jugement) pour pouvoir rendre une décision arbitraire,
en contradiction totale avec ce qui avait été révélé à l’audience ;
- Ni, ni, ni, etc.
À l’évidence, ces personnes et administrations, dont il n’y a
aucune raison de penser qu’elles sont plus corruptibles/corrompues que les autres, ont d’autant
plus accepté de détourner leur fonction que l’injonction venait de très haut.
Les uns se laissèrent corrompre en raison de l’impunité qui leur était offerte ;
les autres n’osèrent pas désobéir.
Je vous remercie, vous, visiteurs qui lisez ces lignes, de bien vouloir sauvegarder ce message et le diffuser sur vos réseaux sociaux.
Azureine
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